un brouillard, je discerne une forme haute et allongée, l’odeur de l’humain, leurs pas font trembler le sol autour de moi Il rit et me montre, avenir gratuit par mail, à ses amis, ils rient tous de ma souffrance Mon flanc palpite, j’ai mal au cœur, dans mon corps Je nage dans mon sang mais je ne peux plus fuir Laissez-moi, pitié Un humain me saisit par la queue et me jette par terre, m’assommant à moitié.