lundi 3 avril 2017

voyance-gratuite


Qui insistait parfois pour le lui faire manger elle-même Et à chaque fois qu’elle y arrivait, c’était les
hourras de tous les autres Tu veux voir ma chambre ? J’ai un grand coffre à jouets J’ai même un train électrique il n’arrivait pas à articuler, voyance gratuite par email,  un seul mot tant il était heureux  Viens, murmura- t-elle Elle lui reprit la main et l’entraîna vers la maison, ils grimpèrent quatre à quatre les marches jusqu’au palier et longèrent un couloir noir et silencieux C’est à ce moment qu’il fut envahi d’un pressentiment.